
Cinq bébés enlevés. Un projet expérimental diabolique consigné dans un journal intime. Un journaliste qui enquête sur ces disparitions vingt-cinq ans après. 1910, Buenos Aires. Une jeune femme réapparaît au domicile de ses parents des années après avoir disparue, une nuit alors qu’elle dormait dans son berceau. Une jeune femme sans aucun souvenir, un homme qui se comporte comme un chien, les images hallucinées d’une session d’hypnose, sont les pistes qui conduiront Alejandro à remonter le fil de cette sombre histoire jusqu’à un dénouement aussi terrifiant qu’inattendu. [Ecole des loisirs]
C'est un livre très psychologique, dur mais qui pose des questions essentielles, comme l'éthique dans le monde scientifique.
Jusqu'où aller en effet pour le bien de la science ?

Moins d'un an après que l'Homme ait marché sur la Lune, c'est une véritable tragédie qui faillit se dérouler dans l'espace lorsqu'un des réservoirs d'oxygène de la navette Apollo 13 explosa en plein vol. Le 13 avril 1970, la phrase "Houston, on a un problème" marqua ainsi à tout jamais les hommes chargés de surveiller ce vol depuis la salle de contrôle de la NASA... et les spectateurs du film de Ron Howard. Quoi de plus logique, donc, à la faire figurer en haut de l'affiche ? [L'internaute]

Après sept ans d'absence, le documentariste américain Michael Moore revient au cinéma. Sa nouvelle comédie, Where to invade next ("Qui d'autre à envahir ?") se propose en effet de chercher en Europe des solutions au marasme socio-économique américain. De manière plus drôle que sarcastique, il parcourt le continent, bannière étoilée dans les mains, pour planter ce drapeau dans chaque pays de l'Union. A la façon d'un conquérant, le réalisateur part à la recherche d'idées dont il pourrait s'emparer pour les ramener aux Etats-Unis. De la gratuité universitaire en Slovénie au fait que l'Allemagne affronte mieux son passé que les Américains ne le font avec l'esclavagisme, Moore, moins égocentrique que par le passé, signe un documentaire en forme de quête globale [Arte]