Trois romans, Ma raison d'espérer, Ma raison de vivre, Ma raison de respirer. Trois romans qui racontent la dégringolade d'une fille maltraitée par sa tante et dont les parents sont décédés. Alcool, sexe... Emma finira par tenir bon grâce à l'amour.
L'héroïne cherche sans doute à oublier ses problèmes en s'enfermant dans ce schéma destructeur. Cette fille, qui tente à tout prix d'être la meilleure pour pouvoir choisir son université, qui veut préserver malgré tout la vie de ses proches... Le livre est triste dur et émouvant en même temps.
Depuis que je suis née, ma vie ressemble à un conte de fées. Mais ne vous y fiez pas ! La vie d'une belle au bois dormant n'est pas rose. Mes parents me font déménager sans cesse, ils me surveillent jour et nuit, je ne suis pas libre comme les autres. Ils ont la hantise de me voir grandir. Car il le leur a promis : le jour de mes seize ans, je devrais mourir.... (4ème de couv.)
Un remake du conte version tueur en série. Du suspens, de l'attente et des questions. D'ailleurs, la Belle au bois dormant avait-elle été prévenue de sa future mort ?
Tous les ans, vers l'automne, sur l'île Thisby, des chevaux de mer cannibales appelés capall visce surgissent de l'océan et traînent dans les alentours de l'île.
Beaucoup de cavaliers tentent d'en attraper pour les Courses du Scorpion.
Selon Kendrick, 4 fois champion sur son cappall visce Carr, est bien décidé à gagner pour garder son cheval. Puck Connolly, elle n'a jamais participé et à horreur des capall visce puisque l'un d'eux a tué ses parents il y a quelques années de cela. Mais cette année, elle est obligée de participer si elle veut garde sa maison natale.
Les deux héros veulent tous les deux garder ce qui leur est précieux mais un seul peut finir premier sous le signe du Scorpion.
Le livre porte bien le nom de la course mais cette dernière n'est que peu décrite. Il y a trop d'attente pour presque rien! L'intrigue pourtant est bonne. Quant aux héros, on s'attache davantage aux personnages secondaires qu'aux autres, qui font un peu cliché!
