Résultats de la recherche
368 éléments trouvés pour « »
- Une super histoire de cow-boy / Delphine Perret
"C’est l’histoire d’un cow-boy. Je l’ai remplacé par un singe, parce qu’on m’a dit qu’un cow-boy ça faisait trop peur avec ses dents cariées et son air mauvais. Son pistolet a été remplacé par une banane parce qu’un pistolet c’est trop dangereux. " Ainsi commence cette super histoire de cow-boy : page de gauche, le texte, en grandes lettres capitales, raconte les frasques d’un cow-boy pas très commode, qui mange des bébés lapins, dit des gros mots et cambriole des banques. Mais comment illustrer ces scènes d’une violence inouie… ? Delphine Perret corrige donc le texte sur la page de droite, donnant ainsi vie à un singe qui se brosse les dents et fait des séances d’aérobics. Un rapport texte-image absolument hilarant pour ce petit livre détonant, qui tourne en dérision le politiquement correct. Les deux histoires qui se font face donnent lieu à des situations complètement absurdes dont les lecteurs, petits et grands, pourront se délecter. [Editeur] Cote : PERR vert
- Nous avons rendez-vous / Marie Dorléans
Une nuit, deux enfants sont réveillés par leurs parents : « Nous avons rendez-vous » leur chuchote leur maman. Mais où vont-ils ainsi, à travers la nuit ? Après avoir quitté la maison, la famille traverse des paysages baignés par la nuit, réinventés par la lumière des fenêtres, du train qui passe, de la lune qui brille, de la lampe torche, de la voie lactée. [Editeur] Cote : DORL vert
- Celui qui dessinait les dieux / Alain Grousset
Taar a un rôle déterminant au sein de son clan: il dessine les dieux-animaux pour s’attirer leurs faveurs et assurer une chasse fructueuse. Lorsqu’il rend son dernier souffle, c’est à son apprenti, Ibhô, de reprendre le flambeau. À son tour, il doit devenir celui-qui-dessine-les-dieux.Quand la haine du chaman et de son fils jaloux le contraint à fuir, Ibhô se lance alors dans une quête mystérieuse : découvrir la Grande Grotte, dont on dit que les murs recèlent les plus belles créations.Mais parviendra-t-il au bout de son périple avant que ses poursuivants ne le rattrapent ? [Editeur] Cote : GROU bleu
- La pire meilleure journée de ma vie / Hubert Ben Kemoun
Les crabes en pincent-ils pour d'autres espèces ? Les poissons peuvent-ils faire la course avec les mouettes ? Les abysses, ça fait vraiment flipper ? Ca existe les animaux marins végétariens ? Voici 50 questions, toutes plus folles les unes que tes autres, sur les habitants des fonds marins ! Questions loufoques, certes, mais avec des réponses très sérieuses, qui te permettront de devenir incollable sur les animaux aquatiques et leur monde fascinant. Tu découvriras ainsi des tas d'infos sur les poissons, les mammifères et les mollusques qui occupent les profondeurs ; des créatures dangereuses aux plus monstrueuses... Le tout accompagné par des dessins humoristiques et de splendides illustrations réalistes. [www.payot.ch] Cote : BENK bleu
- Disparition mystérieuse au refuge ! / Claire Bertholet
Enfin les grandes vacances ! Clara va pouvoir passer du temps au refuge des Campanules avec sa maman Sophie, son meilleur ami Walter et son loup Kanala.Le refuge est en effervescence, car en plus des randonneurs et alpinistes habituels, Sophie s’apprête à accueillir un groupe d’enfants venus du centre aéré d’une grande ville. Mais dès le lendemain de leur arrivée, lors d’une balade, le petit Paul disparaît… Clara, Walter et Kanala se lancent à sa recherche !Les enquêtes mouvementées de deux amis entre 1000 et 2500 mètres d’altitude ! [Editeur] Cote : BERT vert
- La vie dure trois minutes / Agnès Laroche
Tout le monde connaît le naufrage du Titanic en 1912. Et qui connaît le naufrage de l'Afrique, paquebot échoué sur les côtes françaises en 1920 faisant plus de 500 victimes ? Ce roman est passionnant pour son côté historique (on parle du naufrage, mais également de la Première Guerre mondiale, des recrues "forcées" de soldats africains des colonies françaises). Il est aussi très émouvant. L'écriture est douce et délicate. On s'attache aux personnages de Léon, 12 ans, sa mère et Tierno, ce tirailleur sénégalais rescapé. Il y a aussi une belle réflexion sur la langue française. Un livre qui plaira également aux adultes. [Ricochet] Pour en savoir plus : http://www.memoiresdelafrique.fr/accueil.htm Sélection Prix RTS Ados 2020 Cote : LARO rouge
- La vie dure trois minutes / Agnès Laroche
Juste avant la rentrée de première, Automne voit Chloé emménager chez elle. Aux côtés de Chloé, Automne s’épanouit. Elle se découvre une passion pour la danse, s’ouvre de plus en plus aux autres et aux opportunités. Ce qui lui semblait inimaginable il y a encore peu lui ouvre les bras. Automne réalise qu’elle peut faire tout ce qui lui plaît, grâce à Chloé. Sa personnalité grandit alors qu’elle apprend à ne plus se soucier de ce qu’on pense d’elle. Lorsque Chloé disparaît brutalement, Automne s’effondre, ne sachant plus comment continuer sa nouvelle vie sans celle qui la lui avait offerte. Incapable de faire face, elle se réfugie dans le silence. L’écriture comme remède Entre passé et présent, Automne retrace son histoire, ses conséquences. Un récit dont le lecteur n’a le dénouement qu’à la toute dernière page. Automne ressent le besoin d’écrire les événements terribles qui l’ont amenée là où elle est aujourd’hui, dans le but d’oublier. Pas seulement se délester d’un poids, mais elle espère qu’une fois le point final apposé à son histoire, elle pourra l’oublier pour enfin, aller de l’avant. Page à page, le lecteur découvre l’histoire d’Automne, Chloé et Medhi, telle qu’Automne l’a vécue. Un récit poignant Grâce à la plume acérée d’Agnès Laroche, le lecteur ressent toute la douleur d’Automne. Il est impossible de ne pas partager sa peine, telle qu’elle l’empêche même parfois de se lever le matin. Incapable de faire le deuil de sa meilleure amie, elle ne peut pas accepter que celle-ci ne soit plus avec elle. Alors, Automne prend une décision : pour aller mieux, elle doit absolument tout oublier. Oublier Chloé, ne plus emprunter les rues qu’elles ont empruntées ensemble. Arrêter le tango, passion qu’elle s’est découverte avec Chloé. Des secrets difficiles à garder Surtout, Automne connaît les secrets de Chloé, mais ne peut se résoudre à les partager avec ses parents, ou les parents de son amie. Même s’ils contiennent des précisions sur les événements qui ont entraînés la mort de sa meilleure amie, Automne sait que tout avouer n’avancerait à rien. Mais elle ne peut plus non plus garder pour elle ces secrets qui la dévorent chaque jour un peu plus. Alors elle note son histoire, celle de Chloé et aussi de Medhi, dans un carnet, destiné à elle-même et aux lecteurs, uniquement. En couchant l’histoire sur le papier, Automne y gagne une certaine sérénité d’esprit, retracer le fil des événements l’apaise et lui permet de voir la situation dans son ensemble. Agnès Laroche nous livre un roman poignant, un récit de vie tel qu’on n’en lit que rarement. Le lecteur plonge dans les tourments d’Automne, à cheval entre les souvenirs et un avenir qu’elle a toutes les peines du monde à imaginer. La vie dure trois minutes est un récit bouleversant qui a su tirer son épingle du jeu en pleine rentrée littéraire. [publikart] Sélection Prix RTS Ados 2020 Cote : LARO rouge
- La théorie de l'iceberg / Christopher Bouix
Reconnaissons-le, j'y suis allée à reculons. La mer et moi, ce n'est pas cela ! Alors, un récit tournant autour du surf, pensez-donc ! Mais réduire ce livre à ce seul élément serait une grave erreur ! Il y est tout d'abord question d'amitié. D'amitié intergénérationnelle, celle d'un retraité et du jeune héros, tous deux blessés, tous deux en marge de la société. De leur lien étroit autour d'une même passion. L'écriture rédemptrice, l'écriture salvatrice! Il y a également Lorraine, confidente passionnée d'astronomie. Mais s'agit-il vraiment d'amitié ? Il s'agit également d'un récit d'espoir, faisant la part belle à la résilience ("résistance d'un matériau au choc", par extension "force morale; qualité de quelqu'un qui ne se décourage pas, ne se laisse pas abattre", Centre national de ressources textuelles et lexicales). Je dois dire qu'au final, il s'agit d'un vrai coup de cœur, que j'ai ressenti là ! L'écriture nous emporte, comme le bruit des vagues. Bande son (merci la RTS pour l'idée...) : Laura Pausini - La Solitudine Cote : BOUI rouge
- Je peux te voir / Carina Rozenfeld
Alors qu’il se réveille après un mois de coma, unique survivant d’un accident de voiture qui a coûté la vie à ses parents et à sa soeur, Maxime Vidal est pris en charge par le Pater, qui veut lui faire développer son don très particulier: la vision à distance. Isolé de tout pendant plusieurs années, le garçon apprend à maîtriser ses capacités, sous l’œil exigeant de son mentor dont le but avoué est de faire de lui un espion surdoué à sa solde. Mais lors d’une mission, Max fait une découverte qui bouleverse ses certitudes et le pousse à fuir pour tenter d’apprendre la vérité. Bien décidé à ne pas laisser partir son meilleur élément sans réagir, le Pater envoie à sa recherche la jeune Liza, dotée des mêmes aptitudes. Une course-poursuite très particulière s’engage alors, mettant en scène des jeux de superpouvoirs entre êtres hors du commun… [RTS] En lice pour le Pris RTS ado 2020. Cote : ROZE rouge
- La théorie de l'iceberg / Christopher Bouix
La théorie de l'iceberg n'a rien d'une théorie. Quoi que... Mais du moins pas d'emblée et il vous faudra lire ce roman jeunesse pour en connaître le fin mot. C'est l'histoire de N-n-n-oé, mal dans sa peau, solitaire, et bègue suite à un traumatisme. Et pour couronner c'est sa passion même, le surf, qui est la cause de ce traumatisme. Trahi par ce qu'il aimait le plus au monde.Privé de son plus grand plaisir. La vie s'est arrêtée là. Un heurt, propre et figuré, un choc, et les rouages cessent de tourner. Noé se retire du monde. Il regarde le temps passer. Mais finalement, cet arrêt sur image ne serait-il pas une de ces fameuses épreuves qui font grandir ? Les adultes n'arrêtent pas d'en parler comme de choses évidentes, le psy aussi, bien entendu. « Mais oui c'est ça bien sûr ! » Sauf que les vieux auraient peut-être un peu raison... Dans ce roman, le récit met en scène un triangle de personnages qui tirent les ficelles. Noé notre héros silencieux et apparemment immobile, M. Herrera, vieux bonhomme acariâtre et la pétillante Lorraine. Atypiques, entre fantasques et fantastiques, M. Herrera et la jeune fille s'entrechoquent chacun avec Noé comme deux sphères qui se nourrissent l'une l'autre et repartent ensuite pour leur trajectoire. Christopher Bouix fait l'éloge de la rencontre. Il s'avère au fond qu'il n'est pas toujours nécessaire de plus de quelques semaines pour rencontrer quelqu'un et se rencontrer soi-même à travers lui. Comme la comète Feuerstein qui traverse le ciel quelques secondes et tient Lorraine en haleine, et peut-être en vie, en tout cas dans l'envie. Ce livre narre également ce que veut dire rebondir, « se cogner au monde » à nouveau et encore pour se construire, parce que sans ça, on en crève. Noé est un personnage attachant qui, en plein désamour de tout, reprend vie, d'abord parce qu'il se bat sous ses airs impassibles. Il se saisit des occasions, toutes celles qui passent ou presque, avec une vraie énergie vitale que lui-même ignorait. La théorie de l'iceberg parle de ce dont on est capable sans même s'en douter un instant. Bien entendu, des adolescents étant les héros, la question de la place, de l'être au monde est de rigueur. Rien de très inattendu. Passage obligé. Mais là encore, pas de théorie, pas de leçons, pas d'insupportables et parfaitement inutiles « Il faut y'a qu'à ». Avec finesse, on s'aperçoit que l'auteur construit sur un ton innocent et faussement naïf un parcours initiatique. Noé part à la quête du sens. Par nécessité, alors on ne se dit pas qu'il part trouver le monde. On se dit qu'il traîne sa vie. Et puis, d'un coup il traîne moins, et encore moins. Il grandit. Vit des deuils, fait des découvertes. Des premières fois. Il est adolescent en somme. Avec finesse et tendresse, sans jamais être ridicule, car veille ce regard acéré de l'adolescent qui voit le ridicule et la honte à peu près partout, La théorie de l'iceberg narre le devenir à 15 ans. Sans émotion capiteuse ni flagellation excessive, du doigté et une justesse du point de vue adolescent. Et une adolescence vivante et prête à. La théorie de l'iceberg conte la quête du sens, de son propre sens, et la résout avec tendresse et douceur, ce qui manque souvent cruellement à l'adolescence et surtout aux livres qui parlent d'elle. [ActuaLitté] Cote : BOUI rouge
- Panic : [le jeu de la peur] / Lauren Oliver
Personne ne sait qui a inventé Panic, ni quand ce jeu a commencé. Personne ne connaît les juges, leur identité est un secret. Personne ne connaît les règles, il n'y en a pas. Les coups les plus tordus sont permis pour remporter les épreuves successives, chacune plus dangereuse que la précédente. Plus de cinquante mille dollars sont en jeu. Et l'espoir d'une vie meilleure. Peut-on rêver mieux quand on a dix-sept ans et qu'on vit dans un trou paumé? Qui peut résister à Panic? Personne. Mais le vrai vainqueur, c'est la peur. [Renouvaud] Pas une minute de repos avec ce livre. Tous les coups sont permis dans ce jeu, dont le seul but est de survivre. Il se passe toujours quelque chose. On stresse pour tout le monde mais on a quand même envie que l'héroïne gagne!. Cote : OLIV rouge
- Les chiens / Allan Stratton
Toujours sur ses gardes, redoutant le retour de son père, Cameron, un garçon d'environ 14 ans, vit seul avec sa mère. A chaque fois que cette dernière croit voir son ex-mari, elle déménage, emmenant son fils avec elle. Cameron a pris l'habitude des déménagements surprise, si bien que mère et fils ne défont jamais totalement leurs cartons après avoir emménagé, pour repartir plus vite au cas où ils le croiseraient, lui qui les guette sans arrêt. Jusqu'au jour où la petite famille emménage dans une ferme au milieu de la campagne. Mais dans son nouveau collège, Cameron entend des rumeurs sur la ferme, des murmures sur lui, les autres élèves le regardent avec stupeur et chuchotent entre eux, le laissant à l'écart. Cameron, curieux et effrayé, décide de découvrir le lourd secret de cette ferme vieille comme le monde, qui l'effraie tant. On se laisse facilement prendre par ce triller palpitant qui suscite en nous peur et panique. Le héros, auquel on s'identifie facilement, et même le fantôme, sont attachants et nous évoluons en parallèle à lui. Cote : STRA rouge